Les 7 étapes du changement créateur
- Étape 6: Le choix des mécanismes de protection -
Qu'est ce qu'un mécanisme de protection?
Le concept de mécanisme de protection est une idée originale de la créatrice de l’approche, Colette Portelance, Ph.D. Voici sa définition, tirée du livre Relation d’aide et amour de soi, Éditions du CRAM Inc., 2007, p. 314:
« Les mécanismes de protection sont des moyens conscients, choisis librement par l'individu dans le but de se protéger contre la souffrance psychique et pour assurer la satisfaction de ses besoins fondamentaux»
Les mécanismes de protection nous permettent donc de nous prendre soin de nous-mêmes, de nous protéger.
Il y en a 6 qui vous sont proposés. Ils sont décrits un peu plus bas, dans cet article.
Mécanisme de protection ou mécanisme de défense?
Le mécanisme de protection est différent du mécanisme de défense. D’un côté, le mécanisme de défense est un processus qui se met en place automatiquement pour empêcher une personne d’être en contact avec un vécu souffrant. Il a pour impact de tenir la personne emprisonnée dans un fonctionnement néfaste pour elle-même. De plus, il a un impact négatif sur ses relations.
Par opposition, la mise en place d’un mécanisme de protection résulte d’un processus conscient de connaissance, d’acceptation et d’observation de soi. Ce n’est pas une fuite d’un vécu douloureux, ce qui est le propre du mécanisme de défense.
Pourquoi mettre en place des mécanisme de protection?
À travers le processus d’évolution et de changement créateur, nous découvrons nos fonctionnements personnels et relationnels. De plus, nous apprenons à connaître et à être sensibles à nos zones vulnérables. Nous devons parfois apprendre à composer avec nos zones vulnérables. En effet, lorsque nos blessures sont profondément ancrées, nous n’arrivons pas nécessairement à les guérir. Alors, notre cheminement consiste plutôt à apprendre à nous protéger en mettant en place des mécanismes de protection, pour satisfaire nos besoins affectifs.
Ces différents mécanismes de protection sont listés ci-dessous et des explications à leur sujet sont fournies dans la section suivante.
Quels sont les mécanismes de protection?
- 1. Faire une demande claire
- 2. La vérification
- 3. Le choix de l’entourage et de l’environnement
- 4. Délimiter son territoire et poser ses limites
- 5. Faire de nouvelles expériences de vie constructives
- 6. Transformer nos attentes en objectifs
1. Faire une demande claire
Ce premier mécanisme de protection implique d’exprimer clairement à l’autre ce dont nous avons besoin. En effet, lorsque nous connaissons et assumons réellement nos besoins, nous n’en remettons pas la responsabilité à autrui. Cela ne veut pas dire que nous n’avons plus besoin de l’autre et que nous devons remplir nos besoins par nous-mêmes. Non, ce n’est pas ça! Je veux plutôt mettre en lumière l’importance de faire des demandes claires et précises à une personne lorsque nous avons un besoin à combler tout en accordant à l’autre la liberté de refuser. Sinon, notre demande est en réalité une exigence déguisée.
Voici quelques exemples de demandes claires:
- Je demande à mon copain s’il accepterait de m’offrir des fleurs (le moyen, le désir) quelques fois par année car, lorsqu’il fait cela, je me sens aimée (besoin d’être aimée comblé par un bouquet de fleurs).
- Ma semaine de travail est exigeante. Je réalise que je vis un trop plein et que j’ai besoin d’aide pour préparer le repas de la journée. Alors, je demande à mon conjoint s’il serait disponible pour mettre la table et couper les légumes.
- J’ai un examen chez l’ophtalmologiste et j’ai besoin d’être accompagné car je ne pourrai pas conduire. En étant conscient de ce besoin, je contacte un ami et je lui demande s’il est disponible pour me conduire là-bas et me raccompagner chez moi après mon examen.
Faire une demande claire est difficile pour certaines personnes. Elles craignent le rejet.
Attention aux pièges de l'exigence et des attentes...
La demande devient une exigence lorsqu’intérieurement, nous ne donnons pas le choix de refuser à la personne à qui nous adressons notre demande. Souvent, nous adoptons ce comportement car nous craignons le refus -qui nous touche dans une blessure de rejet, d’abandon ou d’exclusion-. Cette situation génère des non-dits car notre demande est en fait défensive. Elle cache une peur non conscientisée.
Lorsque notre demande est claire et précise et que nous sommes ouverts à recevoir une réponse honnête, cela génère une relation basée sur l’authenticité. Notre relation est alors ancrée dans la réalité des besoins et limites de chacun. Par conséquent, la situation étant claire, cela nous donne l’opportunité d’aller chercher ailleurs pour satisfaire notre besoin en cas de réponse négative.
Dans certaines circonstances, nous hésitons à faire des demandes claires et précises par peur du «non». Dans l’espoir d’obtenir ce que nous désirons, nous utilisons alors une autre tactique. Nous tournons «autour du pot» en espérant que notre interlocuteur devine notre besoin. Parfois, cette technique fonctionne à merveille et notre interlocuteur cerne notre besoin. Et, effectivement, il nous offre le moyen de le combler. Cependant, dans bien d’autres cas, notre interlocuteur ne devine pas ce que nous tentons de lui demander. Ou encore, il interprète, à sa façon, nos propos, sans nous offrir ce que nous souhaitons. Par conséquent, nous restons pris avec notre besoin insatisfait parce que notre demande n’était pas claire. Nous nous sommes placés dans une position d’attente envers l’autre. Nos peurs nous ont bloqués dans notre processus.
2. La vérification
Voici un deuxième moyen de protection. Celui-ci nous permet de sortir de notre imaginaire destructeur et de l’interprétation.
Dans certaines circonstances de notre vie, nous interprétons les signaux ou comportements que nous observons chez une autre personne, souvent de façon fautive. Dans d’autres moments, notre imaginaire construit une histoire au sujet de l’autre à partir de nos projection ou de nos émotions non identifiées. Le mécanisme de protection de la vérification est alors de mise.
En effet, ce mécanisme de protection nous permet de confirmer ou d’infirmer si ce qui se passe dans notre tête correspond réellement à ce qui se passe dans la tête de l’autre. Ainsi, nous reprenons contact avec la réalité. Nous sortons des scénarios destructeurs qui nuisent à nos relations.
Vous trouverez des exemples de vérifications dans la section ci-dessous.
La vérification permet de sorti du piège de l'interprétation ou des scénarios imaginaires destructeurs
Exemple 1
Vous taquinez un ami et ce dernier ne rit pas. Il a la figure longue. Vous vous imaginez que vous l’avez blessé. En étant sensible au malaise qui vous habite (peur d’avoir blessé l’autre et peur de perdre son amitié), vous réalisez que vous avez besoin d’être situé par rapport à sa réaction. Vous vous souciez de votre ami, vous lui accordez de l’importance. Vous pouvez alors vérifier avec votre ami si votre taquinerie l’a blessé. Il est possible que ce soit le cas. Par contre, en vérifiant avec lui, vous pourriez découvrir tout autre chose, par exemple qu’il se fait du souci pour son travail et qu’il n’a pas le coeur à rire. La vérification vous a permis de vous situer dans la réalité et de sortir de votre imaginaire.
Exemple 2
Vous êtes invité à une fête. Lorsque vous arrivez dans la salle de réception, vous constatez que les gens sont bien habillés. Vous êtes habillé adéquatement, mais vous croyez que vos habits ne sont pas suffisamment chics. À votre entrée, plusieurs regards se tournent vers vous (par curiosité). Cependant, de votre côté, vous vous imaginez que les autres vous regardent en jugeant vos habits inadéquats.
En étant sensible au malaise qui vous envahit, vous arrivez à identifier que vous avez peur. Vous craignez d’être jugé et d’être exclu du groupe. Par la suite, vous prenez conscience que vous avez besoin d’accueil et d’inclusion.
D’autre part, vous avez également besoin d’être rassurés en ce qui concerne votre habillement car vous y accordez de l’importance. Pour ne pas rester pris dans votre interprétation ou votre imaginaire, vous pourriez utiliser la vérification comme mécanisme de protection. Par exemple, vous pourriez demander à une personne de confiance si elle a jugé votre habillement comme étant inadéquat pour la soirée et si elle a l’intention de vous exclure de son cercle. Parfois, c’est le cas, mais souvent, c’est vous qui avez été piégé par votre imaginaire.
La vérification vous offre l’opportunité de sortir de vos fausses interprétations et de vos scénarios destructeurs. Dans les cas où vos impressions sont réelles, la vérification a le mérite de vous donner l’heure juste. Par la suite, cela vous permet de vous réaligner. Par exemple, vous pouvez décider de vous habiller autrement la prochaine fois. Ou encore, vous pourriez décider de choisir un cercle d’amis qui vous accepte avec votre style d’habillement. Il est aussi possible que vous ayez besoin d’apprendre à vous accueillir dans votre différence, avec votre style d’habillement.
3. Le choix de l'entourage et de l'environnement
Le troisième des mécanismes de protection est le choix de l’entourage et de l’environnement. Ce mécanisme de protection nous incite à choisir consciemment un type d’environnement et un cercle de relations qui respecte qui nous sommes. Je vous rappelle que pour y arriver, nous devons apprendre à être sensibles à nos zones vulnérables, à nos mécanismes de défense, à notre vécu et à nos besoins.
Vous trouverez, ci-dessous, quelques exemples de choix sains d’entourage et d’environnements, qui tiennent compte des limites et des besoins d’un individu.
Notre environnement influence notre bien-être, souvent à notre insu. Choisissez-le en accord avec vos besoins!
«L'entourage propulseur favorise la manifestation des différences et l'exploitation des potentialités créatrices qui ne peuvent être que le résultat du respect de soi.»
Exemples de choix de relations et d'environnements tenant compte des limites et besoins d'une personne
Notre entourage et notre environnement nous influencent, souvent à notre insu. Comme notre bien-être et notre capacité à nous réaliser y sont souvent liés, nous avons tout intérêt à leur accorder une attention particulière. Ainsi, nous aurons la possibilité de faire des choix qui nous conviennent réellement.
- Par exemple, si nous sommes vulnérable au stress causé par la pression de vitesse, nous avons tout intérêt à choisir un travail et des personnes qui respectent notre rythme.
- D’autre part, si nous sommes sensible au bruit, nous serons plus heureux dans un endroit calme.
- Dans un autre ordre d’idées, si nous sommes facilement déclenchés par les critiques, nous aurons intérêt à nous entourer de personnes peu enclines à la critique et constructives à notre égard. Ou encore, dans une situation où nous risquons d’être critiqué (une évaluation d’un supérieur, par exemple), nous pourrons lui demander de tenir compte de notre vulnérabilité (faire une demande claire).
- Finalement, dans un dernier exemple, si nous avons besoin d’empathie, de gentillesse et de collaboration, nous serons sans doute malheureux dans un environnement où la compétition «sauvage» est favorisée. Par respect pour nous et notre bien-être, nous bénéficierions de choisir un environnement qui tienne compte de nos besoins.
Accordez-vous assez d’importance pour viser votre bien-être en tenant compte de vos besoins!
4. Délimiter son territoire et poser ses limites
Le quatrième mécanisme de protection implique de délimiter son territoire et de poser ses limites. Mais pour réussir cela, nous devons d’abord connaître nos limites ainsi que ce qui constitue notre territoire…
Délimiter son territoire fait référence à un certain nombre d’aspects dans sa vie. Cela implique , par exemple de…
- Comprendre quel est son rôle et son pouvoir, au travail, et de se faire respecter dans ce rôle
- Se faire respecter dans son lieu de vie, par exemple en indiquant clairement les limites à ne pas dépasser (comme fouiller dans certains tiroirs personnels, certaines pièces, certains documents). Cela demande aussi de prendre les mesures protectrices nécessaires pour protéger les endroits vulnérables contre les intrusions (mots de passe pour ordinateur, téléphone portable etc.)
- Ne pas accepter les informations mensongères ou dénigrantes à notre sujet et de les rectifier si nécessaire
- Refuser avec clarté les comportements ou attouchements non désirés. Se protéger contre ce genre de personnes, s’en éloigner.
- Connaître ses capacités personnelles et celles qui ne sont pas à dépasser. Développer la capacité à dire non et à exprimer ses limites.
- Connaître ses valeurs et aligner ses valeurs avec ses décisions et modes de vie. Par exemple, si nous valorisons une alimentation saine mais que nous mangeons souvent du «Fast Food» parce nous investissons trop de temps au travail, nous ne sommes pas alignés avec nos valeurs. Nous aurions intérêt à réaligner nos actions et nos choix en direction de nos valeurs et de notre mieux-être.
5. Faire de nouvelles expériences de vie constructives
Pour évoluer, nous avons besoin de vivre de nouvelles expériences de vie. Ceci constitue le cinquième mécanisme de protection.
D’une part, grâce à de nouvelles expériences de vie, nous avons la possibilité de découvrir des aspects de nous-mêmes que nous ignorions. Ces nouvelles expériences peuvent même nous permettre de prendre la mesure de notre unicité. De plus, à travers ces expériences, nous avons l’opportunité de développer de nouvelles capacités ou des talents inexploités. Finalement, elles nous offrent l’opportunité de prendre conscience de nos limites personnelles et humaines.
Pour certaines personnes, faire l'expérience de la douceur et de la bienveillance en relation constitue une nouvelle expérience de vie
Apprendre à composer avec ses peurs
L’inconnu fait peur. Pour tenter de nouvelles expériences de vie, nous avons à composer avec certaines peurs. Parmi celles-ci, nous trouvons: la peur de l’échec, la peur de se tromper, la peur de faire des erreurs, la peur du jugement d’autrui et la peur du ridicule. Mais je pourrais en citer bien d’autres. Je rajoute encore la peur de l’engagement, la peur de souffrir et la peur d’être déçu. Et je vous invite à rajouter à ma liste vos propres peurs, celles qui vous font hésiter à avancer.
Le truc, ici, c’est de tenter de mini nouvelles expériences, pour accroître votre confiance en vous. Le soutien de personnes proches ou de thérapeutes compétents peut s’avérer utile et même nécessaire.
La situation thérapeutique comme laboratoire d'apprentissage et d'expérimentation
Entre autres contextes, la situation thérapeutique est riche en opportunités d’apprentissage. En premier lieu, dans cet espace privilégié, vous bénéficiez d’une écoute attentive telle que vous n’en n’avez peut-être jamais fait l’expérience. Deuxièmement, à travers la relation respectueuse qui s’établit entre votre thérapeute et vous, vous développez votre confiance relationnelle. Troisièmement, vous apprenez à vous dévoiler dans vos zones vulnérables ainsi que dans vos rêves. De plus, vous faites l’expérience d’être accueillis sans jugement, d’être valorisés et validés. Finalement, vous apprenez à valoriser votre unicité et vos forces, à miser sur vos ressources et à respecter vos limites.
La situation thérapeutique est un peu comme un laboratoire sécurisé d’expérimentation. Vous y gagnez une expérience précieuse que vous pourrez, par la suite, appliquer dans votre quotidien.
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6. Transformer nos attentes en objectifs
Dans certains domaines de notre vie, nous sommes dans l’attente. Nous évitons de passer à l’action. Dans ces circonstances, nous sommes souvent bloqués par nos peurs. Nous craignons de prendre des risques et nous avons également peur des conséquences négatives de notre passage à l’action.
Pourtant, en cas de réussite, nous pourrions bénéficier de la fierté d’avoir relevé un défi important pour nous. En cas d’échec, nous pourrions également en retirer des bénéfices, que ce soit une meilleure connaissance de nous-même ou la compréhension des faux pas à ne pas commettre.
Le sixième et dernier mécanisme de protection nous incite à passer à l’action en transformant nos attentes en objectifs. Cette étape est importante. En effet, nous reprenons le pouvoir sur notre vie lorsque nous nous fixons des objectifs qui répondent à des besoins affectifs importants et que nous faisons des petits pas vers ces objectifs.
Vous trouverez, dans la section suivante une liste d’exemples d’objectifs de nature affective, pour vous inspirer.
Pour certaines personnes, joindre un groupe, malgré la peur de l'exclusion, est un objectif propulsant.
Cet objectif répond aux besoins d'inclusion et d'appartenance.
Exemples d'objectifs de nature affective
- Se donner de la valeur, 1 fois, 3 fois, 5 fois par… (jour, semaine, mois)… Ou demander (pas exiger) à être valorisé, dans certaines circonstances
- S’aimer suffisamment pour se choisir lorsque l’autre personne nous nuit (et, par exemple, la quitter ou poser des conséquences lorsque la personne ne tient pas ses engagements)
- S’accorder de l’importance en faisant des demandes claires
- Apprendre à reconnaître ses réussites pour soi-même et en public
- Demander (pas exiger) de la reconnaissance, de la gentillesse, de la douceur, de l’écoute, de l’attention, du respect…
- Avoir de la compassion pour soi dans des situations difficiles
- Poser un petit geste pour sortir de l’isolement: prendre son courage et demander de l’aide ou inviter une amie à prendre un café
- Oser demander une promotion ou une augmentation de salaire pour la qualité du travail accompli
- Dire non à un excès de travail, d’exigences ou de contraintes
- Quitter un environnement de travail destructeur
- Quitter une relation toxique malgré la peur du vide ou de la solitude
- Faire la demande (pas exiger) de recevoir des fleurs (le moyen) cette semaine pour combler un besoin d’amour
- Vérifier avec son partenaire s’il est disponible pour donner un massage pour combler un besoin d’être touché
- Faire l’expérience de se dévoiler (un peu) dans un espace de vulnérabilité, dans une relation intime
Conclusion
En utilisant des mécanismes de protection, nous avons la possibilité de sortir de nos scénarios imaginaires destructeurs ainsi que de nos fausses interprétations. Par conséquent, nous gagnons en clarté et nous sommes mieux ancrés dans la réalité. Par le fait même, nous reprenons notre pouvoir sur notre vie.
Nous reprenons également du pouvoir sur notre vie en sortant de l’attente, par exemple en faisant des demandes claires ou en cernant ce que nous désirons accomplir au courant de notre vie (tout en nous permettant de nous ajuster en cours de route, si besoin est).
D’autre part, en faisant de nouvelles expériences de vie constructives, nous consolidons certains aspects de notre personne. Nous apprenons parfois à utiliser des capacités que nous possédons mais qui étaient restées dormantes jusqu’alors. Par le fait même, nous élargissons notre vision de nous-mêmes et notre spectre de possibilités.
Finalement,en connaissant nos limites et nos territoires physique et psychique, dans notre vie personnelle ou professionnelle, nous pouvons clairement les respecter et les faire respecter. En cas de difficultés importantes, nous pouvons et devons aller chercher du soutien et des appuis.
Je vous retrouve pour le septième et dernier article qui portera sur le passage à l’action créatrice.
D’autre part, si vous désirez lire un résumé de l’ensemble de l’approche, je vous invite à consulter la page de mon site: Les 7 étapes du changements créateurs.
À bientôt!
